Des projets dans les cartons

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Cela n’aura échappé à personne, la ville de Rumilly est en perpétuelle mutations. 
A la périphérie, avec la construction de nouveaux logements, que ce soit vers le sud de la ville, derrière la gare ou, bientôt, sur la Place des Anciennes Casernes, entre autres. 
Au centre, le chantier du «Forum» sur le site de l’ancien hôpital avance rapidement et les premiers résidents pourraient s’y installer dans quelques mois. Et que dire des projets qui se dessinent sur le rue Montpelaz (lire par ailleurs).
Des mutations qui ne sont pas sans conséquences sur les mobilités. En effet, la circulation déjà difficile à certains moments pourrait devenir problématique. Et que dire du stationnement !
C’est dire que les élus et les aménageurs doivent se «creuser la cervelle» pour élaborer des solutions. 

Le stationnement, dans un centre ville que l’on espère revitalisé, demande quelques aménagements. C’est ainsi que l’on voit revenir un projet qui semblait abandonné dans les cartons : celui d’un parking souterrain.
L’idée avait déjà été envisagée il y a quelques années. Il s’agit de réaliser l’ouvrage sous le terrain de sport du groupe scolaire Démotz de la Salle. Un projet important pour lequel une étude de faisabilité devrait être engagée prochainement. 
C’est, en tout cas, ce qu’a annoncé le maire Pierre Béchet pour qui cette réalisation représenterait «un potentiel important».

D’autres projets pourraient être réactivés dans les années à venir. Par exemple, l’avenir des écoles de centre ville. Et la question se pose, en particulier pour l’école Léon Bailly dont la restauration est qualifiée de «lourde». L’hypothèse de sa démolition reste parmi les possibilités. Elle avait été envisagée déjà lors de l’élaboration du projet «Forum» et reportée pour le moment. 
D’autant que la réforme de la carte scolaire et le retour à des écoles de quartier a changé la donne. Et il n’est pas impossible que, dans un avenir plus ou moins proche, seules les écoles du Centre et René Darmet soit maintenues. «Mais la question n’est pas à l’ordre du jour», a commenté Pierre Béchet en réponse à une question. «Pour le moment, on garde les écoles telles qu’elles sont». 

Mais il est probable que, dans une seconde phase de restructuration du centre ville, certains bâtiments disparaissent…
 

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