Et ben… bonne année !

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«Le magasin sera fermé jusqu’au lundi 6 janvier». «Fermeture du restaurant durant les fêtes».
C’est bien beau les fêtes de fin d’année, mais qu’est-ce qu’on s’ennuie entre deux réveillons. Le nombre de boutiques fermées ! Sans compter les services publics qui ont restreint leurs horaires. Même dans les rues, il n’y a pas grand-monde, ils sont tous partis sans doute. 
C’est dire que, question actualité, il n’y a rien à se mettre sous la dent ! A part l’annonce – si on peut l’appeler ainsi – de la non-candidature du maire de Rumilly (ce que tout le monde avait compris depuis longtemps !), ou de la candidature de son homologue aixois (même remarque !), rien de nouveau.
Du coup, pas grand-chose à raconter cette semaine…
Alors, je veux en profiter pour remercier quelques personnes. Des gens que je ne connais pas mais qui ont eu la gentillesse de m’écrire. Certains l’ont fait par mail, ce qui m’a permis de leur répondre, presque toujours. D’autres m’ont envoyé leur lettre par le courrier ordinaire et, je l’avoue, j’ai eu la flemme de répondre et surtout d’aller poster ma réponse. 
Alors, un grand merci à toutes celles et tous ceux qui, parfois de loin, m’ont envoyé des mots gentils ou des idées de chronique, ou simplement leur ressenti face à certains événements. Merci à Françoise, Jean-Pierre, Edith, Cyril, Gérard, Béatrice, Christine, à Denis, à Claudy, François, Guillaume, Pascal, Odile, André, Jacques, René, Alain, Roland, Karine, Pierre, Didier, Marie, Danielle, Eugène, Bruno, Joëlle et Marie-Rose. Merci à F… ( ?) pour son brin de muguet. Merci à X…( ?) pour ses lettres nombreuses et passionnées. 
Merci à Mélanie, Jean, Philippe, Olivier, Jean-Louis, Michel, Christian, etc. 
J’en oublie, sans doute, pardon ! Mais à tous, et aux autres aussi (même ceux qui n’aiment pas cette chronique), je veux souhaiter une belle année. Une année de bonheurs, simplement.
Je sais, ça risque d’être difficile ! Entre les bruits de bottes qui se font entendre un peu partout (même chez nous selon certains…) et les angoissants effets des dérèglements climatiques, il est parfois difficile de garder le moral. 
Moi, quand j’ai «le blues», je vais voir ma cousine qui vient d’avoir un bébé, je le prends dans mes bras et je me nourris de son sourire. En me disant que lui, et tous les enfants d’aujourd’hui, vont savoir faire un monde meilleur. Une façon de me remettre sur les rails.
J’aimerais bien que, cette année 2020, on arrive à convaincre ceux qui nous gouvernent, du plus humble au plus arrogant, de se lancer vraiment dans une lutte contre la pollution, les pollutions. Sans attendre que le voisin commence… Il y a urgence ! Je crois l’avoir déjà écrit, lorsque mes enfants me reprochent que ma génération a laissé la planète se dégrader sans réagir, j’ai honte. Et pourtant, j’ai l’impression d’avoir fait ce que je pouvais.
Voilà ! C’est une semaine où il ne se passe rien, ou si peu. On change d’année, c’est tout. Et on imagine que cela va changer les choses. Peut-être…
En tout cas, « Bonne année 2020 », du fond du cœur.
Lady Marianne

Pour m’écrire, c’est sur ladymarianne74@orange.fr

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