Le BCR peut compter sur des partenaires fidèles

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La municipalité est le premier partenaire du Boxing Club Rumilly par sa subvention et l’aide logistique apporté à l’organisation du gala annuel. Participe également le Conseil départemental pour la même somme.

Deux ans pourtant que le gymnase de l’Albanais n’avait plus accueilli ce gala pour cause de confinement en 2020,  et en 2019, il avait été organisé à Frangy au mois de novembre avec l’obtention de la ceinture méditerranéenne pour Mehdi Madani, l’enfant du cru.

Mais ce samedi 29 mai prochain, le gala du BCR revient au gymnase avec un programme d’envergure de 5 combats professionnels. Le gala sera malheureusement à huis clos mais visible sur le site internet aboxingnation.ok.ast.tv.

Un gala soutenu par les partenaires publics, mais également par des partenaires privés, fidèles au Boxing Club. Ainsi, le directeur d’Intermarché, Frédéric Odezenne, adepte pourtant de la course à pied. «Mais ma femme fréquente régulièrement la salle, en boxe loisir, pour garder la forme. Elle y apprécie notamment la discipline imposée par le team Madani. Mes filles font du handball, mais cela fait des années aussi que je suis toutes les performances des boxeurs du club. J’ai suivi toute l’épopée de Sébastien (Coco Madani) et je continue avec Mehdi. Ils ont atteint le haut niveau au prix de louables efforts mais aussi de talent. J’ai connu avant les frères Boudouani à Annecy, j’ai vu boxer Akim Tafer à Grenoble. La boxe ne m’est pas étrangère comme vous pouvez le constater. J’aime cette discipline car cela correspond aux valeurs que je me fais du sport. Et Rumilly a toujours été une ville sportive avec son équipe de rugby, son club de boxe et aujourd’hui le foot. C’est bien pour l’Albanais. S’il y a des résultats, c’est qu’il y a un gros travail d’effectué et des personnes pour animer les clubs et permettre aux jeunes d’exercer leur passion. Pour faire éclore des champions, il n’y a pas la place à l’approximation. On n’obtient rien sans efforts. Les clubs peuvent compter à Rumilly sur le soutien de nombreux partenaires et je suis de ceux-là. Je trouve normal d’apporter ma contribution financière».

Même son de cloche de la part de Philippe Morand, partenaire lui aussi depuis des années du Boxing Club. Bien que retraité de chez Métro, il continue à être actif en tant que responsable de «MCPL service»  dans l’agencement et divers travaux à la maison. «J’ai toujours donné un coup de main au club de boxe de Jimmy Madani pour lequel j’ai un profond respect. C’est un personnage hors du commun. Très exigeant, mais en même temps très chaleureux. Les jeunes ne rechignent pas à venir à la salle malgré une discipline de fer. Ils en sortent grandis. Ils y acquièrent de vraies bonnes valeurs qu’ils garderont toute leur vie. Alors, oui, donner un coup de pouce à l’organisation du gala du Boxing Club me parait être une chose naturelle».

 

 

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